
Ellese glisse entre aller et arrêtertraverse à présent ici même en diagonalelentementle cœur de l’homme le cœur de l’homme est vaste et plein d’étoiles.Sentier sec et bombé air léger sous les jeunes arbres champ paisibleherbe calmelac bandé de bleu sous l’éther et moi par là, et dedans la terre regard perdu vers l’invisible semblable à la lumière de la lampe s’arrachant à sa flammeNouveau ciel.LIONEL ANDRE.