
Ton cri, vulgarisé pour enfants par « cocorico », déchirant à mon sens car de la profondeur des âges, enchevêtre aigûment la stridence et la raucité, bruit en moi des plaintes d’une souffrance lucide.
Monté de la gorge et du ventre comme celui de Munch il écorche non juste le matin mais tout temps calme, contrairement à ce que d’aucuns disent supposer, qui n’ont pas peur d’en faire un signe instinctif de triomphe.
Il s’en faut de beaucoup que cela corresponde au vrai d’univers où les oasis de vie en paix sont rares, les bonheurs...
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