lundi 16 mai 2016

MICHEL CAMUS

Merci Adélita mia...   S’ouvrir et attendre que s’écrive, non pas un poème, mais ce qui traverse et dépasse « l’homme troué » qui n’est pas quelqu’un, mais une goutte de lumière, un grain de silence, un noyau fermé sur soi de transpoésie inconnue : quelque chose d’infiniment ouvert seulement vers l’intérieur, quelque chose d’abyssal à quoi grâce à sa lumineuse ignorance il se sent verticalement relié. On vit sans savoir ce qu’est la vie. On aime sans savoir ce qu’est l’amour. On crée sans savoir ce qu’est l’inspiration. On... [Lire la suite]