
Aubes d’espaces orientent la fenêtre inattendueOn saigne les parchemins des signes à décrypterLes yeux futurs décoderont syllabesombresvertigeset le grain de blé aiguillera la main et ses visionsDes papyrus s’envolent mille siècles d’incertitudes
Que de sang a embrumé la clairvoyance de l’invisible !Les firmaments craquellent sur le rivagela mer errante lève la braiseet les portes s’ouvrent
La vie entre par toutes les fenêtresCortèges de manants maquillent le jour d’arc-en-cielEscadrons d’abeilles embrasent la dernière luminationQui...
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