
Tant de choses alanguies tant de vagues à rebours de somnolences à contretemps. Déjà le froid cerne l’ombre allongée l’odeur humide les voix de l’automne si proche. Les rêves moutonnement les pensées se froissent
on recherche l’étonnement l’osmose avec le dedans un peu négligée durant l’estive. On a émigré on est en marge au bord du vide en contradiction avec tout avec soi. On a changé de silence on se promène dans la mort non celle des êtres mais celle qui ocre et rouille l’invisible. Fenêtres closes sur l’aube fragile un cri...
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