mercredi 23 novembre 2016
PENSEE POUR VINCENT- PARIS ETE 1887
La nature remue du négatif au positif,
puisque ce qu’en propose d’observer le pinceau libre
n’est que trace figée d’un cheminement à deux sens
que les tornades de l’intérieur agitent encore.
Dans le cadre, qui s’en trouve pour l’œil presque vrillé,
voire disparu, oublié dans l’attention extrême,
opère de façon sensible, invisiblement,
une tension si lourde entre les couleurs et les formes.
Comment sa chaise fiévreuse, avec pipe et tabac,
ses cyprès affolés, ses oliviers, ses fleurs altières
rendent-ils le mal-être face au... [Lire la suite]
mardi 15 novembre 2011
EXERCICES...Extrait

jeudi 11 juin 2009
VINCENT
