
(...)
Je cherche à connaître le rêve de vos ailes endormies et à partager avec vous l'ivresse de ce sommeil, au creux des vagues.
Mouettes agiles et gracieuses, soeurs aimées de mon âme, je ne cesse de penser que je voudrais, toute pareille à vous, par-dessus le fracas des vagues et la poussière des embruns, connaître l'ivresse de votre existence, éternelles voyageuses !
Sur les ailes qui m'emportent à travers les océans, je vous suis du regard, longtemps, longtemps...mais, hélas ! vos voiles sont plus puissantes que celles...
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