30 mai 2020
LA POESIE ECLOT SOUS LA PEAU DIAPHANE DES MOTS
... Il n’y a d’ailleurs que dans le bruissement de l’eau qui court entre les pierres, le feulement du vent sur la plaine, l’alarme, le frémissement soudain des arbres, le fouet de l’été qui cingle le maquis ébloui à la verticale d’un cri… et plus tard...