18 juin 2013
IL VERBO DEI SILENZI
Erodée par l’infinité du feu la pierre que je chante. Seuil où s’enfonce un cri. Eboulis d’alphabets par l’aube recueillis dans ses silences de lumière. Signes de fièvre sur l’unique miroir sauvé de l’incendie de l’ombre. La mémoire parfois s’illumine...