
un enfant suffit, présentune main suffit, tenduedans le tumulte des sanglotsCe jour, cette heurela nudité des multitudes cherche l’autreouvre la page et dit : je t’aime.dans le silence, les images des solitudesles cieux gris sentent venir la lumière.Et le monde se lèvecœur battant jubilationlibère et envahitl’abime du seul mot fraternitésJours ordinaires d’entente et d’appelMême l’obscurité des jours de pauvreté,c’est toujours l’étable des humbleset l'espoir d’un jour beau d’accueilsur la vieille terre des pleurs,Le silence soudain...
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