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EMMILA GITANA
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26 mars 2025

EMILIE DEQUENNE...PENSEES

EMILIE DEQUENNE...PENSEES

Emilie Dequenne

 

 

 

 

 

  " Le fil n’est pas coupé.
La mort n’est rien,
Je suis seulement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi, vous êtes vous.
Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours."

 

 

 

 

 

.

 

 

 

Nous parcourons du regard les innombrables millions d’années passées et nous voyons le «Vouloir vivre» lutter avec force pour sortir de
la vase laissée par la marée.
Lutter de forme en forme et de pouvoir en pouvoir.
Ramper puis marcher avec confiance sur la terre ferme.
Lutter de génération en génération pour la conquête de l’air, s’enfoncer dans l’obscurité des profondeurs.
Nous le voyons se retourner contre lui-même, poussé par la rage et
la faim, et de nouveau reprendre forme, une forme de plus en plus
élaborée, de plus en plus semblable a nous.
Poursuivant implacablement son projet inouï jusqu’à ce que son être
batte enfin dans notre cerveau et dans nos artères...
Il est possible de croire que tout ce passé n’est que le commencement
d’un commencement, et que tout ce qui est et a été n’est que le premier reflet de l’aube.
Il est possible de croire que tout ce que l’esprit humain a jamais accompli n’est que le rêve qui précède l’éveil.
De notre lignée, des esprits vont surgir qui nous regarderons dans
notre petitesse, afin de nous connaître mieux que nous nous connaissons nous-même.
Un jour viendra, un jour dans l’infinie succession des jours ou des
êtres encore latents dans nos pensées et cachés dans nos flancs se
dresseront sur cette terre comme on se dresse sur un piédestal.
Ils riront et tiendront leurs mains parmi les étoiles...

 

 

 

 

 

.

 

 

 

 

HERBERT GEORGES WELLS

" Vouloir vivre "

 

 

 

 

.

 

 

 

Quelqu’un meurt,
Et ce sont des pas qui s’arrêtent…
Mais si c’était un départ
Pour un nouveau voyage ?

 


Quelqu’un meurt,
Et c’est comme une porte qui claque…
Mais si c’était un paysage s’ouvrant
Sur d’autres paysages ?

 


Quelqu’un meurt,
Et c’est comme un arbre qui tombe…
Mais si c’était une graine germant
Dans une terre nouvelle ?

 


Quelqu’un meurt
Et c’est comme un silence qui hurle…
Mais s’il nous aidait à entendre la fragile
Musique de la vie ?

 

 

 

 

.

 

 


BENOIT MARCHON

 

 


 

Commentaires
C
Tellement proche ! Et si c'était vrai ? Je l'ai toujours pensé mais, sans pouvoir ni savoir le dire avec une telle conviction, une telle verve ... Après tout, éminemment naturel !
Répondre
EMMILA GITANA
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