11 avril 2025
PATRICK CHEMIN ... Extrait
Il ne faut pas croire que nous sommes séparés
Les nuages nous intègrent lentement au scénario
Il ne faut pas désespérer trop tôt
Nous aurons bien le temps
À la face des univers penchés
L’amour vient nous chercher sans un mot
C’est une valse brillante et démunie
À la fin du bal c’est l’amertume qui nous rétribue
Celui de nous deux qui reste se moque
Du grand axe des solitudes
Il ne faut pas donner carte blanche aux crépuscules
Chaque chose finit comme les fleurs des jardins
Celui de nous deux qui va rester
Saura dire l’inconstance du sentiment
Assis dans la cour comme un enfant
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© PATRICK CHEMIN
Avril 2025
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Oeuvre Ayala Lida
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