29 janvier 2009
JEAN MALRIEU...
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Ne serait ce qu'une fois, si tu parlas de liberté
tes lèvres pour l'avoir connue, en ont gardés le goût du sel
Je t'en prie,
Par tous les mots qui ont approchés l'espoir et qui tressaillent
Sois celui qui marche sur la mer
Donne-nous l'orage de demain
Les hommes meurent sans connaître la joie
Les pierres au gré des routes attendent la lévitation
Si le bonheur n'est pas au monde nous partirons à sa rencontre
Nous avons pour l'apprivoiser les merveilleux manteaux
de l'incendie
Si ta vie s'endort
Risque-la
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JEAN MALRIEU
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Oeuvre Bahram Dabiri
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