25 janvier 2010
PELLE-MAIL
Premier instant, premier regard Ouvre la classe, ouvre les rires Quand tu respires, l’eau qui s’endort De l’homme tu en esquisses les maux . ERIC MERCIER .
Première lueur, regard d’espoir
de ton village, poussière hagard
des millénaires, je rentre tard
de ton sourcier, espoir tari
de ton sorcier, sortilège banni,
de ton seul puits coule l’oubli
et si dieu n’était pas lui ?
chasse la dass, ouvre les livres
de son enfance bien mal de vivre
de la décence pour t’en nourrir.
quand au creuset l’eau comme de l’or
dans tes yeux, un sémaphore
humanité comme un accord.
de demain, tu en allèges le destin
de ton Afrique tu cherches l’eau
prends en mon cœur, voici mes mains.
Commentaires