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EMMILA GITANA
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16 juillet 2011

DOM HELDER CAMARA

Ne pleure pas les rythmes
qui, apparemment, se perdent:
rythmes des vents,
des eaux,
du frémissement des arbres,
du chant des oiseaux,
du mouvement des astres,
du pas des hommes…
Il y a toujours un musicien
ou un poète,
ou un saint,
ou un fou,
chargé par Dieu
de capter
les rythmes errants
qui risquent de se perdre.

.

DOM HELDER CAMARA

.

Bereshit

Commentaires
A
"Le poème se présente comme un cercle ou une sphère : un tout fermé sur lui-même, univers qui se suffit, où la fin est aussi un commencement qui se répète et se recrée. Et cette constante répétition et recréation n'est que rythme, marée qui avance et recule, retombe et de nouveau s'élance." Octavio Paz, L'arc et la lyre.<br /> N'est-ce pas aussi une belle image de la vie ?
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EMMILA GITANA
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