30 juin 2012
JACQUES DUPIN
La poésie vit du désir, et de la mort. Et du vide qui la soulève. Pourtant elle s’adresse à quelqu’un. A un lecteur inconnu. A l’inconnu de tout lecteur. Elle ne respire, elle ne se détend, que tendue par le désir de l’autre. L’autre étant l’inconnu, elle étant l’absence toujours
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JACQUES DUPIN
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Oeuvre Eugène Delacroix
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