Traîne l’ombre d’Eros sur les murs des cours intérieures.
C’est l’ambre qui domine l’odeur fauve rappelle les nuits trop noires les portes basses et nues.
C’est la houle qui s'impose sèche nerveuse elle rappelle les nœuds des étreintes imprévisibles les portes austères et closes sur les otages de l’illusion.
La nuit, grand corps humide. Chuintements à senteur de résine dans les jardins profonds.