26 février 2016
AGNES SCHNELL...Extrait
Une toile bat dans le vent
une porte s'ouvre
sur l'imprévisible.
Entre l'autre et soi
l'épuisant voyage
par saccades.
Des murs s'effondrent
comme
dans un demi-sommeil.
On grandit
non par désir
mais par convenances
On attend la fraîcheur
l'inattendu
un rire peut-être
ou un adieu à reculons.
Farouche
on meurt un peu
à peine rassasié.
Aura-t-on assez touché
assez étreint
avant de sombrer ?
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AGNES SCHNELL
2006
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Oeuvre Montserrat Gudiol
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