5 juillet 2011
NI PILLARD, NI FUYARD...Extrait
/http%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F75%2F13%2F310520%2F66268507_o.jpg)
le corps se dérobe la gorge bâillonnée le prix de ce pays de peur c’est la grandeur de son cœur le chagrin traîne tout seul quand les voix des angoissés se noient dans le vent tu n’abandonnes pas tu t’avances sur le sentier à pas comptés tu me coupes...