15 septembre 2015
AU SYBILLIN BALLET DE LA MER
Ô mon immensité hyaline ma nuit perse au visage voilé De renaître à ton choeur sombre perpétuel et vague à l'étreinte des vagues Où divaguent le profond hiver des ciels les vastités confondues L'esquisse sublime de nos arabesques insensées chaque fois...