3 novembre 2011
LÀ OÙ SÉJOURNENT D’INFINIS PAYSAGES
Au commencement est le silence de l’épaule et l’ombre du cou plane sur elle. Puis vient le sein à la fleur d’amandier pour y boire et le creux du nombril pour y dormir. Au commencement est la hanche qui sait faire balancer les regards et encore le genou...