29 janvier 2009
JEAN MALRIEU...
... Ne serait ce qu'une fois, si tu parlas de liberté tes lèvres pour l'avoir connue, en ont gardés le goût du sel Je t'en prie, Par tous les mots qui ont approchés l'espoir et qui tressaillent Sois celui qui marche sur la mer Donne-nous l'orage de demain...