24 septembre 2012
FRANCE BURGHELLE REY
J'ai peur de perdre la musique
quand tous parlent d'elle mais oublie de l'aimer
chants des tableaux du temps
je sais m’en souvenir même des prières anciennes dont on rit maintenant
Aubes blanches et pivoines effeuillées étaient témoins du chant
Aubes blanches et pivoines effeuillées étaient témoins du chant
qui m'a fondé des airs populaires et ces cris d'enfants laissent s'évanouir ce temps
j'en aime même l'oubli
Je n'ai pas peur du silence
Je n'ai pas peur du silence
il sait dire la musique
chante aussi l'avenir
laisse s'évanouir le temps
reçois chaque note de ma portée comme chaque fleur est l'absente de tous bouquets
.
FRANCE BURGHELLE REY
.
Commentaires