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EMMILA GITANA
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22 juillet 2020

EPANCHEMENTS...

EPANCHEMENTS...
S’il advenait qu’Amour à votre porte se présente, dans quelque langue qu’il s’exprime, avec ou sans mots, ne pas l’éconduire, car jamais il ne réitère l’insigne grâce de donner un sens à notre vie. . HENRI-LOUIS PALLEN 2020 .
1 décembre 2019

IN PRAESENTIA IN ABSENTIA

IN PRAESENTIA IN ABSENTIA
Ceux qui savent pleurer ne seront plus comme tant d’autres : ménageant à grand peine leur vulnérabilité aux mots prononcés, ou par l’écriture qu’on déroule, ils laissent opérer toute la résonance en eux. Sans le moindre barrage (protège ou doubles-fenêtres)...
5 octobre 2019

LIERRE...Extrait

LIERRE...Extrait
Il me touche qu’on ne te dise ni herbe ni arbre, végétal si vivant, métèque partout à jamais dont comme les bourgeons de rosier les pousses sont tendres. Est-ce une faute que vivre sur de tels entre-deux ? Est-il condamnable d’échapper à toutes les normes,...
7 novembre 2018

LA FÊTE DE L'EAU

LA FÊTE DE L'EAU
L’on chante une rivière mal chantée car trop chantée comme un mantra qui de tout l’affirmerait victorieuse,car ce n’est plus par réflexe qu’il faut nous y pencher : plutôt rompre la mécanique des automatismes, penser son cours comme notre propre réseau...
1 novembre 2017

ANECDOTES

ANECDOTES
En ce jour saint comme en d'autres je pense à Simon Paul et Léontine, mes chers père et mère - Henri-Louis Pallen . Mon père parlait aux grives, aux merles, aux moineaux et il avait une main droite qui savait tout faire, des objets petits ou grands, avec...
10 août 2017

AFFINS - A NOS PASSEREAUX SEDENTAIRES

AFFINS - A NOS PASSEREAUX SEDENTAIRES
Les hirondelles parties vous voilà sevrés des contes de migration, sur des lieux que vous ne scruterez pas, où les paysages marins aux montagnes succèdent dans tout un luxe rêvé de parfums et de couleurs ; le soleil devenu plus rare à vous de mieux comprendre...
27 juin 2017

VOLEES D'ACTES DE PAROLES EN EPANCHEMENTS

VOLEES D'ACTES DE PAROLES EN EPANCHEMENTS
Le temps accumulant compulsivement les années, l’homme égare ses valeurs qu’en principe, il « discerne » ; le mirage de sa raison trop hantée par l’écho n’éprouve estime et patience que pour ce qui le leurre... Marée retirée : maintenant se trouve presque...
6 mai 2017

ART POETIQUE

ART POETIQUE
Sur les voies où tu tentes d’avancer en écriture tu voudrais effleurer les mots de la pointe des pieds, t’efforçant d’allégir ton être le plus possible, diminuer le poids de ta chair et de ton esprit. Retenir pour mieux donner n’est chose paradoxale que...
5 mai 2017

FAUTE DE MENEE

FAUTE DE MENEE
La question point au cœur de l’oiseau et il chante encore (opposé au silence, ne pouvant rester muet, de sa toute vibration au contraire, à tue-tête) la cantilène que les prophètes n’entendent pas, faute de trace en eux de ce qui est beau en ce monde....
8 avril 2017

RETENUE

RETENUE
Ce qui est bien à toi d’étrange, de paradoxal, particulier, marquant la résonance de ton verbe, tu ne l’as pas en poche, ni au cœur, mais dans le sang à la fluidité et au rythme si variables. La poésie peut-elle constituer l’horizon, et partant, le désir...
25 mars 2017

SCENARIO: DIALOGUE MUET. ( Epilogue d'une fresque Lierre )

SCENARIO: DIALOGUE MUET. ( Epilogue d'une fresque Lierre )
*Que te trouves-tu ici, parasite impitoyable qui n’as de cesse d’abolir toute vie en ces lieux ? -Je ne me nourris pas de la sève de mes semblables et tire exclusivement la mienne, depuis le sol. *Le terrain vague laissé exprès pour nos caravanes s’enlaidit...
26 décembre 2016

CENSÉMENT

CENSÉMENT
Les figues, qui sont parmi les meilleurs fruits de la terre, (je les eusse à la pomme préférées dans le Jardin) mériteraient elles aussi leur place dans le Mythe, comme elles nous donnent une aussi infinie douceur. Autant les noix semblent contenir de...
23 novembre 2016

PENSEE POUR VINCENT- PARIS ETE 1887

La nature remue du négatif au positif, puisque ce qu’en propose d’observer le pinceau libre n’est que trace figée d’un cheminement à deux sens que les tornades de l’intérieur agitent encore. Dans le cadre, qui s’en trouve pour l’œil presque vrillé, voire...
19 novembre 2016

QUID ?

QUID ?
Nous sommes dans cet ailleurs hors espace et hors du temps où ne nous est consentie aucune place réelle ; que point ne soit d’amour sans le vœu de se transformer, à de minces esprits paraît chose inintelligible, laisse au-devant des affres notre conscience...
29 juin 2016

AMITIE, J'AI DIT AMITIE

AMITIE, J'AI DIT AMITIE
On construit ceux qu’on aime et on se construit avec eux, ne pourrait nous les faire désaimer aucune faille : toujours s’oriente vers eux la boussole du cœur, on ne peut en recevoir nulle peine intentionnelle. Même disparus ils continuent de nous augmenter,...
26 mai 2016

L'HIRONDELLE - Un extrait de ton chant, sommairement traduit...

L'HIRONDELLE - Un extrait de ton chant, sommairement traduit...
Survoler les pays pour effacer les guerres, partir, non juste vers la paix, mais vers la vie, être partout sœur absolue de la colombe, jamais un épervier pour les autres oiseaux. Humains qui me lorgnez avec cette constance à ceux que l’on respecte et...
26 mai 2016

LESBOS

LESBOS
Trop assoiffée ce matin la terre s’offre aux caresses de cette pluie qui la fouille dans ses moindres recoins parmi les arcanes de géographie intérieure où les sentiments hauts savent parfois nous transporter. Elle est nous, dans le secret abandon à être...
2 mai 2016

BAN, AU COQ ET SES BEAUX SILENCES

BAN, AU COQ ET SES BEAUX SILENCES
Ton cri, vulgarisé pour enfants par « cocorico », déchirant à mon sens car de la profondeur des âges, enchevêtre aigûment la stridence et la raucité, bruit en moi des plaintes d’une souffrance lucide. Monté de la gorge et du ventre comme celui de Munch...
29 avril 2016

L'ETENDUE

L'ETENDUE
Herbes maigres, genêts et pins : amont d’aiguilles où chaque ruine abrite un figuier, son enfant. (Conversation toujours la même, trop secrète que le vent ralentit ou suspend, dans ses foules) Muraille désertée des nids, faute de feuilles ; mais le soleil...
3 octobre 2013

LA VRAIE RECIPROCITE

LA VRAIE RECIPROCITE
Merci à Henri-Louis Près de la Sorgue dont le circuit en est jalonné, j’observe au calme l’avance des figuiers, en passant chez lui en cette nature qui splendit dans ses veines, en patient tendre, d’inquiète dilection animé. Cher fruit, qui cristallise...
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