17 septembre 2008
RESIDENCE PRINCIPALE
J’habite au plus fissuré des lézardes, au lamento du violoncelle. En Antigone l'emmurée, en la vierge folie d’Ophélie, en toute âme désespérée. J’habite à l'œil paniqué du cheval, au ventre enflé de la famine. En écorchés, en sinistrés, en corridas, en...