
"A l'heure où j'écris ces lignes, je ressasse de moins en moins les hasards de la fureur de l'Histoire. Plus tranquille avec moi-même sans avoir toutefois perdu ma capacité de m'insurger, je comprends mieux les clameurs simplificatrices des autres." Ainsi débute ce témoignage de Danièle Maoudj, issue d'un métissage franco-algérien et qui vit en Corse où elle anime le festival de cinéma méditerranéen de Bastia.
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Sur les sentiers de ma révolte, mon ami de toujours, Charles Santoni qui porte le nom de ma mère, a su,...
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