
Monsieur le Président,
Souffrez que je joigne ma voix, non pas au concert d'invectives déclenché par vos décisions du 28 octobre, mais à la chorale marginale qui s'efforce encore d'en appeler à vos capacités d'analyse, de bienveillance sociale et d'autoprotection. Lorsqu'un ministre de la Santé déboule à l'Assemblée nationale en ordonnant « Sortez d'ici ! » aux députés qui ne partagent pas ses vues, il vous appartient, me semble-t-il, de rétablir les règles du jeu...
[Lire la suite]