lundi 25 juin 2018
LE VENT M'EMPORTE...
A Geoffrey Oryema
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Le vent m’emporte avec le sable sans retourmais les lieux absolus où réside à jamaisl’ombre de mon enfance bravent le temps rongeurtant qu’un mur blanc marque d’un signe purla couture insensible qui lie la terre au cielet la ville vivante avec le champ des morts....Nous passons, nous sommes passés, et nos pas sont effacésRestent seuls quelques signes ineffaçablesque je trace en pleurant dans un lieu innommé.
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JEAN AMROUCHE
" Tunisie de la grâce ", extrait
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vendredi 22 juin 2018
GEOFFREY ORYEMA...HOMMAGE
