
Cosmique, la douleur glisse dans le silence, glisse comme le serpent déroule la nuit. Partout les écrans s’agenouillent au confort des consciences Être un homme et ne pas savoir où habite la douleur, est-ce cela le bonheur ? Un silence blanc un silence noir oblitèrent des douleurs-poignards et le cri majuscule que devrait porter chaque conscience. Devant les écrans et les flonflons de vos fêtes, passent l’hermine et le vison, coule le champagne. Dehors une douleur cosmique, venin silencieux, déporte la raison. Partout les écrans...
[Lire la suite]