16 juillet 2011
DOM HELDER CAMARA
Ne pleure pas les rythmes qui, apparemment, se perdent: rythmes des vents, des eaux, du frémissement des arbres, du chant des oiseaux, du mouvement des astres, du pas des hommes… Il y a toujours un musicien ou un poète, ou un saint, ou un fou, chargé...