8 juin 2010
PARHELIES...Extrait
Parce qu’une gâchette s’était
enrayée
Au doigt de la tolérance,
parce qu’un poing
S’était ouvert sur la
blessure d’une main,
Parce qu’ami soudain un
rire délia les frontières
Ils n’effacèrent pas le sang des drapeaux mais
Ils coulèrent dans les dunes d’ombre
Des tanks incrédules
Ce fut un jour d’orage,
Il grêla inconnu sur cet espoir
Qui s’étonnait d’être né
de chaîne et de rage,
Ce fut un jour de silence
et de floraison ; Pour la deuxième fois le
blé ressuscita le désert
Par Amour de nous
CLAUDINE HELFT
.
Le ciel se mira sur la
terre ;
Dieu se tut en
ce jour
.
Commentaires