11 septembre 2013
SAIT-ON JAMAIS...
A ma mère Si tu es, comme il m’arrive de t’espérer encore, capable d’apercevoir le même azur que mes yeux et de reconnaître les routes où je m’aventure depuis l’alvéole où parfois je ne peux t’enfermer par refus délaisser m’anéantir la lassitude, (ou...