10 avril 2010
FRÊLE
Un rien te frêle. Racine qui tord la rive et se repent de n’être que branche à toutes ces arrachées de cris. Elans de vent qui gisent ailleurs à la frontière qui tient la feuille et qui s’éteignent dans l’asphyxie du sens… Un rien te gèle à la fenêtre...