Te voici dans l'air bleudes forêts intérieuresVivante aux courbes puresdu visibleUne étrange lumièreatteint le sol sauvagenous sommes dans l'amitiéd'un espace sans nomPrémices de douceurentre mes paumesSouffle soudain d'une abeilletout langage renaîtLes mots oublient leur absenceun visage s'éclaireDans la voix survenuele silence est sillages
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FERNAND VERHESEN
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Ce qui façonne la parole jusqu’au silence entrouvert soudain transparentavant que l’air ne brasilleLe faîte jusqu’à s’aligner sur le chemin des sourcesPrésent où se décompose le plus avant sous les pasqu’environnent pour nousles clartés mitoyennesEt le centre au plus profondoublie la torsion des jours L’évidence où je dis surélève toute avanceS’avoue découverte la parcelle reconquise dépositaire sans défautdu visage mis à nu
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FERNAND VERHESEN
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Sculpture... [Lire la suite]