26 mai 2011
DISCOURS PRONONCE EN 1848 PAR VICTOR HUGO DEVANT L'ASSEMBLEE NATIONALE
« Personne plus que moi, messieurs, n'est pénétré de la nécessité, de l'urgente nécessité d'alléger le budget. J'ai déjà voté et continuerai de voter la plupart des réductions proposées, à l'exception de celles qui me paraîtraient tarir les sources même...