16 avril 2010
CECILE OUMHANI
Qui suivra du doigt
Ces odyssées de signes
Au miroir de nos pas
Dit caché de notre quête
A des échappées de merles et de buis
Tant de brisures à ces routes
Rêvées depuis l'obscur en son commencement
Et ces éveils obstinés
Au détour des failles
Quand à trop douter
Les lendemains se dérobent
Dévastés de paroles non tenues
Et d'étoffes lavées de larmes
Au plein de moissons
Qui n'avaient de goût que la rouille
Et toujours renaît l'entêtement à vivre
Ronces perlées de fruits sombres
Goûteux comme un soir d'été
.
.
.
CECILE OUMHANI
.
.
.
Commentaires