15 mars 2014
XAVIER LAINE
Je lis dans le défilement des heures l'absurde destinée de nos pensées dès lors qu'elles s'imaginent en utilité. Elles ne sont que vent, dès lors qu'il faut vivre, ou survivre. Le seul lien ténu qui demeure se tisse alors dans la complicité de la beauté. Elle est l'ultime refuge à l'agitation d'un monde oppressant.
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XAVIER LAINE
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