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EMMILA GITANA

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26 avril 2013

LETTRE AU MINISTRE RESIDENT

LETTRE AU MINISTRE RESIDENT
Monsieur le Docteur Frantz Fanon Médecin des Hôpitaux Psychiatriques Médecin-Chef de service à L’Hôpital Psychiatrique de BLIDA-JOINVILLE A Monsieur le Ministre Résident Gouverneur Général de l’Algérie ALGER Monsieur Le Ministre, Sur ma demande et par...
26 avril 2013

L'ETE...Extrait

L'ETE...Extrait
"Où est l'absurdité du monde ? Est-ce le resplendissement ou le souvenir de son absence ? Avec tant de soleil dans la mémoire, comment ai-je pu parier sur le non-sens ? On s'en étonne, autour de moi ; je m'en étonne aussi, parfois. Je pourrais répondre,...
26 avril 2013

LE DESTIN DE L'HOMME SE JOUE PARTOUT ET TOUT LE TEMPS

LE DESTIN DE L'HOMME SE JOUE PARTOUT ET TOUT LE TEMPS
Parler de l’humanité, c’est parler de soi-même. Dans le procès que l’individu intente perpétuellement à l’humanité, il est lui-même incriminé et la seule chose qui puisse le mettre hors de cause est la mort. Il est significatif qu’il se trouve constamment...
26 avril 2013

PREFACE "LES DAMNES DE LA TERRE " DE FRANTZ FANON PAR JEAN-PAUL SARTRE

PREFACE "LES DAMNES DE LA TERRE " DE FRANTZ FANON PAR JEAN-PAUL SARTRE
Il n'y a pas si longtemps, la terre comptait deux milliards d'habitants, soit cinq cents millions d'hommes et un milliard cinq cents millions d'indigènes. Les premiers disposaient du Verbe, les autres l'empruntaient. Entre ceux-là et ceux-ci, des roitelets...
25 avril 2013

NATACHA

Natacha Ton nom est déjà un voyage A quoi bon dépenser nos sous A partir et pour où A partir J'aime mieux les rivages ombreux De notre grand lit aux draps bleus Où l'on découvre des merveilles Natacha Ton ventre est une plaine à blé Où le Lion court après...
25 avril 2013

CITADELLE...Extrait

CITADELLE...Extrait
Certes, j’ai moi aussi éprouvé, au cours de ma vie, la colère, l’amertume, la haine et la soif de vengeance. Au crépuscule des batailles perdues, comme des rebellions, chaque fois que je me suis découvert impuissant, et comme enfermé en moi-même, faute...
25 avril 2013

LE BILAN DE L'INTELLIGENCE...Extrait

LE BILAN DE L'INTELLIGENCE...Extrait
"Je n’hésite jamais à le déclarer, le diplôme est l’ennemi mortel de la culture. Plus les diplômes ont pris d’importance dans la vie (et cette importance n’a fait que croître à cause des circonstances économiques), plus le rendement de l’enseignement...
25 avril 2013

LE PREMIER HOMME...Extrait

LE PREMIER HOMME...Extrait
" Les manuels étaient toujours ceux qui étaient en usage dans la métropole. Et ces enfants qui ne connaissaient que le sirocco, la poussière, les averses prodigieuses et brèves, le sable des plages et la mer en flammes sous le soleil, lisaient avec application,...
24 avril 2013

LE MERVEILLEUX

LE MERVEILLEUX
"C’est aux dernières limites du possible, sur les confins les plus lointains des apparences, à l’extrême pointe vers laquelle convergent toutes les directions confondues, voire même au-delà, dans cette région où ne peut plus se rencontrer que la conjecture...
24 avril 2013

SAISIR L' INSTANT

SAISIR L' INSTANT
Saisir l’instant tel une fleur Qu’on insère entre deux feuillets Et rien n’existe avant après Dans la suite infinie des heures. Saisir l’instant. Saisir l’instant. S’y réfugier. Et s’en repaître. En rêver. À cette épave s’accrocher. Le mettre à l’éternel...
23 avril 2013

NICOLE BARRIERE

NICOLE BARRIERE
Travail de poésie parole dans le temps comme un très vieil arbre et l’ombre porte fraîcheur au peuple déraciné racines, terre ingrate, l’âpre mélancolie des sombres solitudes ! de la douleur des guerres coupé des sources vives, poète aux poings serrés...
22 avril 2013

LE POEME

LE POEME
Le poème tient dans la main le temps d'un voyage à fleur de chair A la lisière d'un bruit fragile dont l'envie dure Au remous des sables galants quand la mer se retrousse pour arranger l'étoile... Avec ses trous d'oiseaux c'est la maison du printemps...
22 avril 2013

SOUFFLES...Extrait

SOUFFLES...Extrait
"Du vaisseau natal ne reste que l'avenir d'un voyage avorté. Coule sur le corps l'âcre couleurd'un lever d'inconnu. Qui pour dire? Une main, ou peut-être une voix, s'approche, frôle, emmène le cri vers le val de deux sources immunes : C'est la première...
21 avril 2013

LETTRES D'OR

LETTRES D'OR
Dieu, c'est le nom de quelqu'un qui a des milliers de noms. Il s'appelle silence, aurore, personne, lilas, et des tas d'autres noms, mais ce n'est pas possible de les dire tous, une vie entière n'y suffirait pas et c'est pour aller plus vite qu'on a inventé...
21 avril 2013

FEMMES

FEMMES
L'impossible ne peut être femmes! Nous aurons toujours la taille de nos rêves ! Nous rejoindrons, de notre florale impatience Dans la lumière de nos espérances, Le suc flamboyant des étoiles Et le rire assourdissant des dansantes comètes ! Nos fièvres...
21 avril 2013

LE PRINTEMPS DE LA COLERE

LE PRINTEMPS DE LA COLERE
A mes amis, connus et inconnus, aux enfants, aux arbres, aux oiseaux, aux poètes et à tous les regards en quête de lumière. Jours de colère . Et chaque jour un peu plus, en piétinant l'asphalte, elle se plante dans le corps, tout le corps, des pieds qui...
21 avril 2013

JEAN AMROUCHE

JEAN AMROUCHE
Debout palmiers Dans le vent d’ouest qui vous jette vers l’orient Nous avons faim dans la tête Et nous lançons nos mains et nos regards Par-dessus la mer étale Aux millions d’écailles d’or Vers un rivage futur Une ligne indécise Un contre-jour du soleil...
21 avril 2013

PLAIDOYER POUR UNE ENFANCE

PLAIDOYER POUR UNE ENFANCE
C'est toi. C'est moi, c'est nous peut-être ce plein, ce rond, ce sourire qui fond sur les joues et illumine l'instant. Ce corps sans réticence, moelleux. Je ferme les yeux et je nous parle. Nous dont le coeur vieillit à force de savoir et de vouloir,...
20 avril 2013

VERS LE HAUT

VERS LE HAUT
Le poème en avant de nous - toujours se dresse, oui, vers le haut. Intuition majeure, éclat de quelques subtile origine, présence incernable? Peut être seulement la liberté du sujet, échappant à la définition, ouverte à l'infini des galaxies comme à l'infini...
20 avril 2013

ALAIN SUIED

ALAIN SUIED
Ne cherche pas à combler le manque: il te constitue. Ne cherche pas à ignorer le manque: tu le constitues. Etre au monde - voilà ce qui compte et voilà ce qui disparaîtra. Le monde existe quand tu le perds. Ne cherche pas à scruter le vide: il a tes yeux....
EMMILA GITANA
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