3 octobre 2010
PAROLES DE LAINE...Extrait
Je m’enfuyais dans la chevelure éparse de la ferme. Le foin de juin s’étant rassis dans les greniers, je me glissais contre les toits. J’y demeurais à plat, écoutant les moineaux marcher juste sur ma figure, sur l’autre face de l’ardoise. Je creusais...