7 mars 2017
MOTS FRUITS, MOTS SAUVAGES
Certains livres étaient des pêches dont je buvais le jus la tête renversée d’autres des coquillages d’où s’évadaient les fables. Frissonnaient sur mon front telle une frange de cheveux sombres les neiges, les mirages, les criquets pèlerins de l’inconnaissable....