1 octobre 2012
N'A DE PRIX
N’a de prix n’a de poids
que ces mains plus légères que l’air
et qui jouent
les variations sur la jeune lumière
sur fond d’éternité
la musique n’est rien
que ce frisson
qui nous dépasse d’une épaule
où l’on pressent l’illimité intime
dès que l’un
touche l’autre
du bord de son silence.
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GILLES BAUDRY
Sur http://terresdefemmes.blogs.com
in τhαumα, Revue de philosophie et de poésie, « L’air », n° 9, La Compagnie des Argonautes, février 2012, page 166.
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Oeuvre Justyna kopania
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