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EMMILA GITANA

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20 mai 2012

ANDRE LAUDE

ANDRE LAUDE
(...) je ne sais pas d’où surgit cet amour humain si puissant qu’il sculpte une douleur dans mon sang ... je ne sais pas d’où vient ce feu qui me raidit et soude mes mots comme des prières et des hymnes je ne sais pas. je ne sais pas. mais je sais d’où...
20 mai 2012

LA BEAUTE

LA BEAUTE
La beauté est quelque chose de virtuellement là, depuis toujours là, un désir qui jaillit de l'intérieur des êtres, ou de l'Etre, telle une fontaine inépuisable qui, plus que figure anonyme et isolée, se manifeste comme présence rayonnante et reliante,...
20 mai 2012

DERNIER JOURNAL...Extrait

DERNIER JOURNAL...Extrait
(...) Près de la rivière, il y a un arbre que nous avons regardé jour après jour, pendant plusieurs semaines, au lever du soleil. Quand l’astre s’élève lentement au-dessus de l’horizon, au-dessus des bois, l’arbre devient brusquement tout doré. Toutes...
20 mai 2012

LA ULTIMA CARTA DEL POETA FEDERICO GARCIA LORCA

LA ULTIMA CARTA DEL POETA FEDERICO GARCIA LORCA
El diario "El País" publica hoy lo que puede ser la última carta del poeta Federico García Lorca. La escribió, según el diario, en Granada, el 18 de julio de 1936, el mismo día en el que se hizo pública la sublevación de Franco. La carta iba dirigida...
20 mai 2012

MAISON DE CRAIE

MAISON DE CRAIE
Sur son ardoise l’enfant dessine une maison : porte, fenêtre unique, cheminée de guingois et dans le ciel l’oiseau-soleil. Penché, l’enfant dessine une maison avec amour, enfin, du bout d’un doigt, étire une fumée, pose sa craie, me dit : « Entre donc...
19 mai 2012

L'AMIE

L'AMIE
Elle n’était que grandeur, Appartenance à l'aujourd'hui, Avait une parenté avec tous les horizons ouverts, Et comme elle comprenait bien le ton de l'eau et de la terre ! Sa voix Évoquait la confuse langueur de la réalité. Ses paupières Nous ont indiqué...
18 mai 2012

EL ARRIERO VA

. En las arenas bailan los remolinos, el sol juega en el brillo del pedregal, y, prendido a la magia de los caminos, el arriero va, el arriero va. Es bandera de niebla su poncho al viento, lo saludan las flautas del pajonal, y, guapeando en la senda por...
18 mai 2012

OUTLINES...Extrait

OUTLINES...Extrait
Dans mes veines ce n'est pas du sang qui coule, c'est l'eau, l'eau amère des océans houleux... Des bonaces, des jours pleins gonflent ma poitrine, préludes aux blancs vertiges des ouragans... Des poulpes étirent la soie crissante de leurs doigts et leurs...
17 mai 2012

DANS LA PEAU D'UN AUTRE

DANS LA PEAU D'UN AUTRE
Nous nous dévorons nous-mêmes cannibales de l'extrême gloutonnerie nous ajustons nos masques d'oxygène dans ces réunions entre gens avertis lors de remises de prix étouffantes où les lettrés jaunissent dans les hautes sphères et les mots fourbus vont...
17 mai 2012

L' AMOUR AU TEMPS DU CHOLERA...Extrait

L' AMOUR AU TEMPS DU CHOLERA...Extrait
Les êtres humains ne naissent pas une fois pour toutes à l'heure où leur mère leur donne le jour, mais quand la vie les oblige de nouveau et bien souvent à accoucher d'eux-mêmes. . GABRIEL GARCIA MARQUEZ .
17 mai 2012

VAGUES...Extrait

VAGUES...Extrait
C’est ici le combat de la mer avec elle-même, elle se tord dans les criques livides, s’arrache à sa continuité, se soulève, frémit toute et retombe. La mer, sais-tu, m’unit à son tourment, la mer vient, prend la fuite, vient, conjugue temps et espace...
16 mai 2012

NOUS CHOISIRONS SOPHOCLE...Extrait

NOUS CHOISIRONS SOPHOCLE...Extrait
Voici nos jours qui apparaissent pour nous assoiffer encore... Dans la cohue des plaies anciennes, nous n'avons pas reconnu notre blessure. Mais ce lieu-saignement est désigné par nos noms. Nous n'étions pas coupables d'être nés là ni coupables... si...
16 mai 2012

UNE PROMESSE

UNE PROMESSE
Nous avons traversé des orages, des tempêtes, les hautes solitudes, les profondes douleurs. Ne fût-ce que cela la vie ? La mort, n’est-ce rien que cela. —Vers l’haut-delà ? Des joies, — l’éclair, du bonheur, — l’éblouissement. — Or, j’avance somnambule,...
16 mai 2012

POEME A CORDES

POEME A CORDES
Donc c'était moi ces tessons glissant sous tes pieds nus la pointe suraiguë d'un sourire tranchant Moi la saveur sauvage des braises sur ta langue qui te liaient au chant Et c'était mon naufrage ivresse innée des algues qui t'attirait au fond . JEAN-PIERRE...
16 mai 2012

PRIERE

PRIERE
Qu'on me laisse partir à présent Je pèserais si peu sur les eaux J'emporterais si peu de chose Quelques visages le ciel d'été Une rose ouverte La rivière est si fraîche La plaie si brûlante Qu'on me laisse partir à l'heure incandescente Quand les bêtes...
16 mai 2012

NO ME CONFORMO, NO : ME DESESPERO

NO ME CONFORMO, NO : ME DESESPERO
No me conformo, no: me desespero como si fuera un huracán de lava en el presidio de una almendra esclava o en el penal colgante de un jilguero. Besarte fue besar un avispero que me clama al tormento y me desclava y cava un hoyo fúnebre y lo cava dentro...
15 mai 2012

ARRÊTEZ...

ARRÊTEZ...
Arrêtez de célébrer les massacres Arrêtez de célébrer des noms Arrêtez de célébrer des fantômes Arrêtez de célébrer des dates Arrêtez de célébrer l’histoire La jeunesse trop jeune à votre goût Insouciante et consciente Sait Depuis le temps que vous battez...
15 mai 2012

SILVIA PEREZ CRUZ - Corrandes d'exili de Lluis Llach

14 mai 2012

OYATS

OYATS
J'aurais seulement besoin des oyats sur les dunes éclairés par les lis et d'une cuillerée d'amour pour marcher sur les flots agités d'une illusion de temps et d'un safran de rire Tant d'années sans eux les lis le léger inconfort des étangs les vieilles...
14 mai 2012

LE CANTIQUE QUI EST A GABRIEL/LE...Extrait

LE CANTIQUE QUI EST A GABRIEL/LE...Extrait
Je n’ai plus connaissance sinon du seul silence qui là-bas m’a reconnu J’aurais vécu en est le nom car je sais les noms de cette nuit qui est l’épair Du ciel ici quand je te parle de guérir comme l’on meurt dans la mort de l’autre Qui était l’étendue,...
EMMILA GITANA
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