Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
EMMILA GITANA
Visiteurs
Depuis la création 1 613 140
Newsletter
Archives
sentiment
22 janvier 2009

COPLAS

COPLAS
Soudain,la rue s'est colorée de ton absence et j'ai vu ton corps avancer ton corps secret avancer aussi léger, aussi vraique le rêve de l'étoile dans la lumière égarée des immeubles. ........... Dans l'indifférence des regardsdans les cris et les pleurs...
31 décembre 2008

JEAN-FREDERIC BRUN

JEAN-FREDERIC BRUN
S'imbiber sans rien dire dans la terre, entre l'absinthe, le persil sauvage et le ciste, et projeter enfin au cœur de son abîme tout amour vivre de lumière, de vent et de lassitude. D'un sourire cruel qui me déchire me sevrer enfin. Être l'attente d'un...
10 décembre 2008

LE LIEU DES SIGNES....Extrait

LE LIEU DES SIGNES....Extrait
Beauté levante, chaque fois que m’étreint le sentiment de l’éphémère. [ …] Je parle de silence, mais qu’est-il au juste ? L’instant peut-être où le monologue ( le rabâchage) intérieur prenant conscience de soi s’arrête tout à coup, et qu’il ne reste plus...
9 décembre 2008

DE LA MULTIPLICATION DES CONTOURS A LA DECOUVERTE DES PLAIES...Extrait

DE LA MULTIPLICATION DES CONTOURS A LA DECOUVERTE DES PLAIES...Extrait
Je reste dans le souvenir large de la mer qui ne voulait plus parler d'elle du soleil dans les yeux du sourire halluciné de la petite mort dans l'âme de l'homme face aux gouffres agitant de là-bas un squelette minuscule dans le silence ouvert et illusoire...
9 décembre 2008

LA ROBE ETOILEE

LA ROBE ETOILEE
Quand on me revêtira de cette robe à la taille de la nuit à la mesure de mes silences mes enfants, ma femme Quand j’aurai eu mon comptant d’oxygène et d’heures mes amours, mon amour Quand après avoir été présent il me faudra crier absent ma femme, mes...
29 novembre 2008

LE CHANT DES COQUILLAGES

LE CHANT DES COQUILLAGES
J’apprendrai ton visage sur le bout de mes doigts et dans les profondeurs fugitives des astres j'emporterai si vite ce joyau d'espérance que le jour interdit sans un mot de lumière n’osera plus lever son regard vers le ciel... J'apprendrai ton amour dans...
28 novembre 2008

T'EMMENER...

T'EMMENER...
J'aimerais, mon ange, t'emmener au bout de mon être, là où je gis, dépouillé des apparences et offert à la pleine et ravageuse lumière de la lucidité, j'aimerais t'y emmener, mon ange, pour que tu sombres tes mains dans ces landes plus vastes que l'enfer...
27 novembre 2008

PARCE QUE....Extrait

PARCE QUE....Extrait
"J’ai trois épouvantails dans mon jardin, dont l’un à bicyclette. Je le soupçonne de pédaler jusqu’au village durant la nuit. Il a toujours des brins de paille en sueur et le chapeau de travers. En fait, ils aiment les oiseaux et ouvrent même la porte...
17 novembre 2008

UMAR TIMOL

UMAR TIMOL
Je veux te parler de la mort, qui est une tentation, si on entend par la mort, non pas la dissolution de la chair, de l'être mais la conscience interdite ou absente, j'ai envie, ainsi, parfois, de me situer, d'être, en dehors de ma conscience car au loin...
13 novembre 2008

LE CHANT A L'HOMME

LE CHANT A L'HOMME
Le parcours de la nuitfais-le avec moisous l'élan de vagues extrêmes. Pour apprendre de toice que seul tu sais,je laisserai ma place,mon foyer, mes affaires,suivant tes pas sans repos. Frère es tu des cèdres,et répands le parfum des citrons cueillisTa...
12 novembre 2008

COMMUNE PRESENCE...Extrait

COMMUNE PRESENCE...Extrait
"…Comment pourrais-je vous jamais vous oublier puisque je n'ai pas à me souvenir de vous : vous êtes le présent qui s'accumule. Nous nous unirons sans avoir à nous aborder, à nous prévoir comme deux pavots font en amour une anémone géante.Je n'entrerai...
7 novembre 2008

LIEUX EPARS

LIEUX EPARS
"Qui souffle sur la paume! L'haleine rêve de roses et nul ne caresse l'eau qui coule à travers corps pour mieux irriguer les poèmes Invisible haleine sans mots ! Tout dire sans rien dire ! Ton fragile regard en mon regard Et l'aérienne existence proche...
1 novembre 2008

BLANC SUR BLANC...Extrait

BLANC SUR BLANC...Extrait
Il n'y a pas d'autre manière d'approcherde ta bouche : tant de soleils et de mersbrûlent pour que tu ne sois pas de neige : corps ancré dans l'été : les oiseaux de mercouronnent ton visagede leur vol : musique inachevéeque les doigts délivrent : lumière...
14 octobre 2008

LE LABOUREUR DU SOLEIL...Extrait

LE LABOUREUR DU SOLEIL...Extrait
"J'ai pristes cheveux un à unj'ai tissé une barque Dans la brise de tes yeuxj'ai navigué vers les îlesaux tulipes bleues Il neigeaitsur les coquelicotsde tes lèvres Tristeétait l'enfantqui avait faim Il pleuvaitdes étoilessur le toit de mon coeur J'ai...
13 octobre 2008

TOUT L'ESPOIR N'EST PAS DE TROP...Extrait

TOUT L'ESPOIR N'EST PAS DE TROP...Extrait
Te perdrec'est retrouver le néant des sablesavec ses os de seiches obstruant ma bouche,c'est retrouver le jour encombré d'épluchures,jonché de squelettes épineux. Toi perdue,mes mains se videront de tout ce qui les faisait gémirou trembler,mes lèvres...
12 octobre 2008

L'INCISIVE

L'INCISIVE
"en réponseaux élans interditsaux lettres déchiréesaux entailles de mémoireen réponseà l'outrageà toute désespéranceà l'espace et à l'heureaux voix glabresen réponseaux cent lignesje lancerai un livre" . FRANCOISE LISON-LEROY . .
11 octobre 2008

LA CHAMBRE DANS L'ESPACE

LA CHAMBRE DANS L'ESPACE
Tel le chant du ramier quand l'averse est prochaine - l'air se poudre de pluie, de soleil revenant-, je m'éveille lavé, je fonds en m'élevant; je vendange le ciel novice. Allongé contre toi, je meus ta liberté. Je suis un bloc de terre qui réclame sa...
10 octobre 2008

NE CHERCHEZ PLUS MON COEUR

NE CHERCHEZ PLUS MON COEUR
Celui qui s'aventure ne porte pas de nom. La langue toute est son domaine. Agenouillé, il fouille avec des branches : un peu de terre dérange le ciel, de minces araignées patinent parmi les reflets. C'était sur les rives de la Meuse, à peu de pas du déversoir...
25 septembre 2008

JEAN JOUBERT

JEAN JOUBERT
Pourquoi toujours aller vers l'eau ;La rose, la colombe ? Dans l'ombre court la rivièreL'eau vierge, la jeune fille,Et sa ceinture est nouée,Ses cheveux sont nouésAvec des liens de fer.Elle voudrait sourire, elle voudrait jeter les liens de fer,Mais l'ombre...
25 septembre 2008

ET LA MER DISAIT...

ET LA MER DISAIT...
La mer roulait ses vagues, l'amour creusait son gouffreEt la mer disait:On ne peut pas t'aimer puisque tu ne veux pas aimer,chaque seconde te fera chuter plus encore,le silence des autres te tueracar tu n'écoutes pas... Et la mer disait:Tu demandes trop:tu...
<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 > >>
EMMILA GITANA
Pages
Tags
Derniers commentaires